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Reportage
Le numérique : pour sécuriser la chaîne d’approvisionnement
. «En cinq ans, on a investi un bon 15 à 20 millions de dollars», estime Josée Petitclerc. Le tri se fait par exemple grâce à un lecteur optique qui mitraille les pédoncules de milliers de photographies afin d’apprendre à différencier chaque variété et à les orienter vers la bonne section d’emballage. «Notre centre d’emballage est 4.0, souligne-t-elle.
L’ère 4.0